MEGAPOLIS​
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SUITE CONCERTANTE POUR 5TET DE JAZZ ET ORCHESTRE SYMPHONIQUE
Invité par l’Orchestre National de Bretagne et soutenu par l’Estran à Guidel, Guillaume Saint-James s’est lancé dans l’écriture de Megapolis, une extension de Polis pour orchestre symphonique et sextet de jazz, en quelque sorte la ville rêvée en grand par le compositeur.
Megapolis se présente comme une passerelle entre musique écrite et improvisée. Elle est la rencontre entre deux univers qui se fondent l’un dans l’autre en évitant les seules relations de bon voisinage. L’écriture concertante valorise chaque pupitre de l’orchestre symphonique et invite le sextet à dialoguer avec l’orchestre.
L’œuvre se décline sur huit tableaux urbains et invite à parcourir une ville imaginaire pleine de contrastes, du plus palpitant au plus désolant. La ville projette des images sur la rétine du compositeur qui se transforment en séquences où lyrisme et humour cohabitent sans complexe.
Qualifiée par la presse de « musique ellingtonienne » ou de « musique rétinienne », Mégapolis fait en effet appel à des images où les grands espaces sonores cohabitent avec de fines pépites rythmiques, dans une amplitude et une fluidité qui sont à la fois l’héritage des grands maîtres classiques, mais aussi ceux de Duke Ellington, Bernard Hermann, John Barry ou Maria Schneider.
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